Au maximum du quatrième sorte, une révolution main se produisit. Le corbeau albinos, silencieux et constant jusqu’alors, cessa soudainement de gifler des ailes pendant des appels du jour. Les utilisateurs de l'univers de voyance par téléphone commencèrent à tracer une concentration : le calme, efficient et prolongé, remplaçait les habituelles pulsations d’ailes. Aucun message, nul symbole, rien qu’un verve diffus, comme si l’air lui-même hésitait à pervibrer. Sandro Calderón, inquiet, observa le comportement d’Althair. L’oiseau ne semblait ni malade ni blessé. Il restait perché, arrêté, le regard figé vers le ciel, tels que en attente. Pourtant, dès que la ligne se déconnectait ou qu’aucun appel n’était en fil, il reprenait ses vols quotidiens, exécutant des physionomie complexes dans l’air glacial. La voyance par téléphone, dans les anciens temps nette et fluide, devenait imprévisible, comme par exemple si le canal se refermait à certains moments de la journée. Les analystes de l'univers pensèrent d’abord à un dysfonctionnement méthode, mais les épreuves révélèrent une profitable intégrité de quelques lignes. Les signaux étaient bien donne. Ce n’était pas un silence forcé, mais un vacarme consciente. L’oiseau choisissait dans le cas ou et à qui soumettre ses battements. Un filtre neuf semblait s’être instauré, intangible mais tyrannique. Seuls certaines personnes appelants rapportaient encore de certaines prédictions, d'ordinaire fragmentaires, la plupart du temps marques d'arabesques récurrents : une tour blanche, un œil inversé, des coeurs s’enroulant à proximité d’un entourage suspendu. La voyance par téléphone, des anciens temps perçue notamment une révélation dégagé et ouverte, semblait dès maintenant régie par une collection implicite. Le corbeau décidait, filtrant les esprits, apercevant les consultations qu’il jugeait dignes d’être entendus. Sandro démarra à emmagasiner un journal clair de certaines spectacle muettes, incorporant les heures, les expériences, les époques lunaires. Un plan finit par jaillir : les silences coïncidaient avec les zones où les divinations précédentes avaient persisté ignorées ou détournées. Ce n’était plus un sujet de prospective. C’était devenu un organisme d’observation, très dynamique, en mesure de mémoriser les aboutissements de tout battement antérieur. La voyance par téléphone était sésame dans une phase de retour. Ceux qui écoutaient sans causer ne recevaient plus rien. Althair, par ses ailes figées, marquait une transition. Le destinée n’était plus à décoder. Il attendait une solution.
